Revue de presse
Isabelle Boudineau et Laurence Harribey démontent les préjugés sur l’Europe
“L’Europe au quotidien en Nouvelle Aquitaine: Aqui ouvre le dossier”, Aqui.fr, 22 janvier 2017
Isabelle Boudineau, Vice-présidente en charge de l’Europe et de l’international et Laurence Harribey, conseillère régionale délégué à l’Europe, viennent expliquer dans une vidéo les rapports entre la Région et l’Europe dans une période ou l’euroscepticisme est de mise.
On y apprend que depuis 2014 les Régions françaises, sous l’impulsion notamment d’Alain Rousset (alors Président de l’Association des Régions de France) sont devenues autorités de gestion des fonds européens. Cela implique que désormais ce sont elles qui sont présentent aux côtés des acteurs locaux dans la mise en place de leurs projets et de leurs financements.
Cela représente 2,5 milliards d’euros sur la période 2014-2020 pour la Région Nouvelle-Aquitaine tout de même … sur des projets aussi divers que la mobilité étudiante, le financement des maisons de santé en milieu rural, l’aide au développement économique. En tout, pour l’année 2016 ce sont 1282 projets qui ont été aidés par des aides européennes, et dans le même temps par la Région.
Comme l’expliquent les deux élues, ce n’est pas du saupoudrage de subventions, mais bel et bien une écoute des besoins des territoires, une co-construction avec les acteurs locaux, dans le cadre d’une véritable stratégie régionale et européenne. Si l’UE a pour objectif d’être “au plus proche des territoires et des citoyens”, c’est grâce à son relai de proximité: la Région.
Source : aqui.fr
Revue de presse
Les voeux à la presse d’Alain Rousset placés sous le signe de l’innovation
“Alain Rousset annonce 2 nouveaux fonds pour les PME en 2017”, La Tribune, 16 janvier 2017
Lors des traditionnels voeux à la presse, le Président du Conseil Régional de la Nouvelle-Aquitaine a voulu faire le point sur la première année d’activité de la nouvelle Région, les avancées, les projets en cours, et les défis à relever.
Pour Alain Rousset, “Lutter contre le phénomène d’attractivité de la métropole bordelaise, dont la dynamique est naturelle” est l’une des priorités de sa mandature, en misant sur un développement équilibré et équitable du territoire néo-aquitain. La mise en place progressive d’une DATAR régionale, outil moderne chargé d’étudier en profondeur le territoire et de lutter contre la désertification, est l’une des traductions concrètes que l’on peut voir.
Autre axe majeur de la politique régionale: les transports, notamment les trains du quotidien, qui visent à rapprocher les agglomérations entre elles.
Mais en 2017, pour le responsable régional, il faut voir encore plus loin, “qu’à chaque fois, le mot innovation soit présent dans nos politiques régionales”. D’où l’annonce du lancement de 2 fonds pour les entreprises de la Région, le premier pour aider les PME et start-up dans l’investissement et la croissance (doté de 250 millions d’euros à la fin de l’année), et le second pour des prêts à faible taux pour les projets de modernisation (en partenariat avec Bpifrance). Pour que la Nouvelle-Aquitaine soit “la première région de France en matière de croissance et de création d’entreprise”.
Pour Alain Rousset, la Nouvelle-Aquitaine n’est pas la simple juxtaposition des anciennes régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes. “En apparence, les compétences économiques n’ont pas changé. En réalité, oui. En matière de renégociation de la Politique agricole commune, de politique économique et touristique, de formation, les choses vont changer. … Toutes les expériences internationales montrent que rapprocher le pouvoir des citoyens permet d’être plus rapide, plus efficace.”
Avec pour la première fois un budget régional dépassant les 3 milliards d’euros, Alain Rousset a aussi décliné quelques grandes priorités pour 2017 : l’économie bleue tournée vers l’Atlantique et les nombreux affluents de la Région, les batteries du futur avec le projet sur le Bassin de Lacq dans les Pyrénées-Atlantiques, les technologies additives (impressions 3D), et la santé notamment avec le lancement du Neurocampus prochainement.
Sur l’agriculture, compétence régionale forte, Alain Rousset constate que “ni les exploitants, ni les Régions, ni l’Etat n’ont la possibilité d’investir suffisamment, seuls, pour refondre complètement les bâtiments des paysans dont les élevages sont touchés par la grippe aviaire, ou pour aider les viticulteurs à sortir complètement des pesticides”. Il faut donc aller vers un changement de modèle économique, vers une agriculture plus innovante, et engager un dialogue directe avec les autorités européennes afin de “remettre l’agriculteur au centre de la chaîne de valeur”.
Source : La Tribune
Revue de presse
Alain Rousset souhaite le développement de la LGV sur la Nouvelle-Aquitaine
“La LGV va entraîner des gains de temps spectaculaires pour les territoires”, La Tribune, 14 janvier 2017
Alain Rousset, Président du Conseil Régional de la Nouvelle-Aquitaine, a vanté les mérites de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Bordeaux-Paris qui rentrera en service à partir du 2 juillet prochain.
La LGV rapprochera toutes les villes de la Nouvelle-Aquitaine de la capitale, avec des gains de temps allant de 52 minutes pour Arcachon-Paris à 1h22 pour Mont-de-Marsan-Paris !
Dans le même temps, la Région, qui a la compétence des trains du quotidien (les TER), veut améliorer la complémentarité entre TER et TGV, avec une interopérabilité renforcée, pour notamment veiller à ce que cette ligne bénéficie à tous les territoires.
“Nous allons mettre en place une politique d’aménagement du territoire qui fasse qu’il ne pleuve pas là où le sol est déjà mouillé.” Alain Rousset
La Région Nouvelle-Aquitaine est forte d’un écosystème riche, avec des entreprises leader dans leurs domaines de compétences, mais aussi des centres de formation, des universités, qui sont soutenues par le Conseil Régional, et qui bénéficieront de ces infrastructures.
Mais Alain Rousset souhaite ne pas s’arrêter là, notamment en appuyant la GPSO (Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest), qui vise à relier Bordeaux à Toulouse et à l’Espagne. Pour cela, il en appelle à l’Europe, notamment la Banque Européenne d’Investissement.
Source : La Tribune
Revue de presse
Alain Rousset inaugure un espace de coworking à Poitiers
“Cobalt, le bon alliage des forces numériques locales”, Vienne rurale, 13 janvier 2017
Alain Rousset, Président de la Région Nouvelle-Aquitaine, a inauguré lundi 9 janvier Cobalt, un espace dit de “coworking” ou tiers-lieu de plus de 800m2 sur le Grand Poitiers, qui a pour but d’accueillir des entrepreneurs, des PME, qui louent des bureaux partagés.
Ces espaces dit partagés sont en éclosion un peu partout sur le territoire de la Nouvelle-Aquitaine, et permettent notamment aux entrepreneurs du numérique de se rencontrer, de partager leurs expériences et de s’entraider dans la lancée de leurs projets innovants. Dans ce lieu l’on retrouve aussi d’autres acteurs qui viennent en support, comme l’université de Poitiers, l’agglomération de Grand Poitiers, le réseau des professionnels du numérique (SPN) …
Si la Région Nouvelle-Aquitaine a financé Cobalt a hauteur de 75 000€, elle ne compte pas en rester là, Alain Rousset souhaitant doter la Région d’un fonds d’investissement pour aider le financement des start-ups.
Source : Vienne rurale
Revue de presse
La Région harmonise son fonds d’investissement aux PME
“La Nouvelle-Aquitaine crée un fonds de co-investissement après l’évaluation des fonds des trois précédentes régions”, Localtis, 8 décembre 2016
La Région Nouvelle-Aquitaine a décidé de créer un fonds d’investissement pour aider au renforcement des fonds propres des entreprises présentes sur son territoire.
Bernard Uthurry, Vice-président en charge du développement économique et de l’économie numérique explique que “l’objet de ce fonds est d’investir en fonds propres et quasi-fonds propres dans des PME implantées en Nouvelle-Aquitaine qui sont en phase d’amorçage, de transformation en lien avec la révolution digitale par exemple, ou d’innovation.”
C’est un fonds de co-investissement, c’est à dire qu’à côté des investisseurs publics ou européens comme la Région ou encore BPI France, l’objectif est d’attirer des investisseurs privés dans les PME de la Nouvelle-Aquitaine : “Pour tout ce qui relève de l’amorçage et du capital-risque, l’investissement pourra être compris entre 100.000 et 300.000 euros, précise Bernard Uthurry, et tout ce qui relève du capital développement sera compris entre 150.000 et 500.000 euros.”
Il s’agit là de l’harmonisation de 3 pratiques déjà en place dans les ex-Aquitaine (Aqui-Invest), ex-Poitou-Charentes (fonds de co-investissement de Poitou-Charentes) et ex-Limousin (Dynalim). Ce nouveau fonds sera opérationnel d’ici le début de l’année 2017.
Source : Localtis
Revue de presse
Grâce à la Région, Bordeaux aura droit à son whisky !
“Whisky : Bordeaux construit sa première distillerie”, La Tribune, 2 décembre 2016
Connu pour son vin, Bordeaux décide de se diversifier dans le whisky. C’est en tout cas l’ambition de la distillerie Moon Harbour, traduction du Port de la Lune, qui est l’un des noms poétique de la ville.
Philippe Dorthe, Conseiller régional, représentait la Nouvelle-Aquitaine, qui a soutenu ce projet pour un montant de 600 000€ (sur un investissement total de 3 millions d’euros), avec d’autres partenaires comme BPI France notamment.
Installé aux Bassins à flot, zone industrielle portuaire, Philippe Dorthe estime que “la revitalisation de cette zone est une priorité car la distillerie va créer des emplois productifs à haute valeur ajoutée et des produits manufacturés. Il faut réinjecter le plus vite possible de l’emploi productif dans ce quartier. Le salaire de base à Bordeaux est de 1.400 € net par mois. Ici, dans la zone portuaire, seront créés des emplois rémunérés entre 1.800 et 3.000 € net par mois”.
Source : La Tribune
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La Région cherche des partenaires pour développer les batteries du futur
“Batteries du futur à Lacq : Alain Rousset annonce des discussions avec Total”, La République des Pyrénées, 1er décembre 2016
Alain Rousset, Président du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine, était jeudi 1er décembre à Lacq pour la pose de la première pierre de l’extension de l’hôtel d’entreprises Chemstart’up.
Il en a profité pour aborder le dossier des batteries du futur : “J’ai rencontré Patrick Pouyanné, le PDG de Total lundi dernier pour évoquer avec lui ce dossier”. La Nouvelle-Aquitaine fait actuellement un tour de table des industriels prêt à participer, à l’instar du chimiste Arkéma, pour la mise en place d’un démonstrateur qui précéderait la mise en production.
Coût estimé de cette phase de test : 30 millions d’euros. Les retombées sur le bassin de Lacq sont estimées, si le projet va jusqu’au bout, à des centaines d’emplois.
Source : La République des Pyrénées
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Alain Rousset à l’inauguration d’une Usine du futur
“Dans le Béarn, Safran préfigure l’usine aéronautique du futur”, Sud Ouest, 2 décembre 2016
“Safran Helicopter Engines automatise la production des pales de turbines”, Air&Cosmos, 1er décembre 2016
Alain Rousset, Président de la Nouvelle-Aquitaine, était présent à l’inauguration de la première ligne de production automatisée sur le site de Safran Helicopter Engines (ex-Turbomeca) à Bordes, jeudi 1er décembre.
Cette ligne fabriquera l’ensemble des pales de turbine. La mise en place de ce nouvel outil de production ultra-moderne va permettre d’accroître considérablement la compétitivité et le niveau d’excellence dans la fabrication de cette famille de pièces, grâce notamment à une réduction des cycles de production, une amélioration de la qualité et une maîtrise accrue des coûts. Le temps de fabrication d’une pale de turbine est ainsi divisé par deux.
Pour Alain Rousset, cette mécanisation rentre dans son projet d’Usine du futur : ” C’est l’humain qui est au cœur de l’usine du futur. Il faut des spécialistes pour penser cette usine, il n’y a que des hommes et des femmes pour la faire marcher. La robotisation ne va pas faire baisser l’emploi mais elle va faire monter en gamme pour fournir mieux et à moindre coût. Je ne crois pas à une France sans usine. Il faut qu’on les maintienne à La Souterraine, à Guéret et Bordes pour que l’emploi reste à côté ”
Bruno Even, président de Safran Helicopter Engines, dit la même chose avec des mots différents : “Il faut garder en tête que l’entreprise a choisi d’investir en France et non à l’étranger et que nous n’avons pas d’autres choix que d’avancer. Ce travail passe par la transformation industrielle, c’est un enjeu majeur pour rester compétitif.”
Sur cette ligne de production de pales de turbines, les futurs opérateurs, qui ont été formés pendant plus d’un an et demi, serviront de pilotes pour le futur, puisque les pales sont le cœur du moteur d’hélicoptère.
Bruno Even annonce un plan pluriannuel d’investissement dans l’aéronautique, indispensable pour gagner la bataille de l’emploi et de la compétitivité.
Source : Sud Ouest, Air&Cosmos
http://www.sudouest.fr/2016/12/02/safran-assure-son-role-de-pilote-2587565-4052.php (lien abonnés)
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La Région se voit transférer 3 nouvelles lignes de train
“Trois Trains d’Equilibre du Territoire transférés à la Région en 2018”, Le Journal des Professionnels, 30 novembre 2016
Alain Rousset, Président du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine, et Alain Vidalies, Secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, ont annoncé un transfert de 3 lignes Intercités ou TET (Trains d’Equilibre du Territoire) de l’Etat vers la Région, à compter du 1er janvier 2018 : Bordeaux-La Rochelle, Bordeaux-Limoges et Bordeaux-Ussel.
Dans le cadre de l’accord, l’Etat accompagnera la Région Nouvelle-Aquitaine en finançant un renouvellement du matériel roulant et l’acquisition de cinq rames Alstom Régiolis neuves, ainsi qu’une contribution de fonctionnement à la Région.
Alain Rousset a déclaré : « C’est un accord équilibré et de raison entre l’Etat et la Région Nouvelle-Aquitaine qui confirme, par la reprise de ces lignes, ses missions d’aménagement du territoire et d’autorité organisatrice des transports. Garantir des solutions de mobilité à tous les territoires, c’est en effet assurer leur attractivité et soutenir leur dynamique et leur tissu économique. Nous sommes ainsi en plein dans notre rôle ».
De son côté, Alain Vidalies a salué « l’objectif partagé d’améliorer l’attractivité de ces lignes et d’apporter une réponse au plus près des attentes des voyageurs ».
L’accord sera présenté devant les conseillers régionaux lors de la séance plénière du 19 décembre prochain.
Source : Le Journal des Professionnels
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“Dimanche en Politique” Limousin avec François Vincent
“Déserts médicaux en Limousin : quelles solutions pour demain ?”, France 3 Limousin, 27 novembre 2016
François Vincent, professeur de médecine, pneumologue au CHU de Limoges et conseiller régional (PS) pour la Haute-Vienne à participé à l’émission “Dimanche en Politique” du 27 novembre 2016 sur la thématique des déserts médicaux en Limousin.
Cette désertification médicale que l’on constate dans le Limousin inquiète de plus en plus, et représente en enjeu important pour les citoyens.
Pourtant, des maisons médicales pluridisciplinaires, qui sont déjà au nombre de plusieurs dizaines en Limousin serait une solution pour François Vincent.
“Il n’y pas de fatalité, on a une vraie volonté politique, 20 maisons médicales ont été créées en 3 ans en Limousin, 20 projets sont en cours.” affirme-t-il, car “actuellement, les médecins en devenir que nous avons à la faculté de médecine ne travaillent que de manière collaborative, ils ont besoin de l’opinion du kiné, de l’infirmière … Et au bout de 10 ans d’études, on leur dit “tu prends ta valise, tu vas t’installer tout seul dans ton coin, ça ne marche pas!”
Si on prend la volonté régionale de création de ces maisons de santé, et l’annonce du Ministère de la Santé de hausse du numerus clausus d’étudiant en médecine, “60% des étudiants en médecine à Limoges vont rester dans la région”.
Et puis de nouvelles pratiques, comme la télémédecine, apparaissent : “C’est la médecine du futur ! C’est ce qui va pouvoir refaire du maillage de territoire. Le patient ne se déplace pas, ce sont les données qui se déplacent, c’est remarquable, on peut le déployer en neurologie, en pneumologie, en rhumatologie, il suffit de le mettre en musique. La Région, en terme d’innovation, accompagnera cette modification, notamment par le déploiement du haut-débit.”
Source : France 3 Limousin